Le rapprochement bancaire, loin d’être une simple formalité, s’impose comme l’un des plus grands défis de la gestion financière moderne. Chaque mois, des équipes entières collectent, comparent et vérifient manuellement des relevés bancaires et des écritures comptables 🥵. Cette mécanique, héritée d’une époque pré-digitale, expose les entreprises à des risques majeurs : erreurs humaines, retards de paiement, fraudes et non-conformité réglementaire.
Selon une étude Altares, environ 56 % des entreprises continuent de subir des retards de paiement. Ce gouffre de temps et d’énergie pèse lourdement sur la trésorerie et la compétitivité... Sans oublier les délais de traitement, souvent rallongés par des allers-retours entre services, freinent la prise de décision et compliquent la gestion des flux de trésorerie.
Et la traçabilité reste un point noir : remonter l’origine d’un écart ou justifier une opération lors d’un audit s’apparente à une chasse au trésor 🙈. Face à des exigences réglementaires toujours plus strictes (lutte contre la fraude, blanchiment, conformité RGPD), le modèle traditionnel montre ses limites. Dans un univers où chaque minute compte, il devient urgent de repenser ces processus pour gagner en efficacité, en sécurité et en transparence.